Saveurs de la semaine : le 24 juin 2016

Les Saveurs de la semaine sont votre source hebdomadaire de nouvelles et de reportages sur l’immobilier qui auraient pu vous échapper. Notre équipe des Saveurs de la semaine s’acharne à parcourir le Web, les groupes de nouvelles et les forums à la recherche de reportages obscurs, bizarres, intéressants et informatifs sur l’immobilier ou des sujets connexes. Si vous désirez en contribuer un, veuillez l’afficher à notre section réservée aux commentaires ou gazouiller sur le reportage en utilisant le mot-clic #Saveursdelasemaine. Faites-vous couler une bonne tasse de café frais, savourez ces reportages… et faites-en peut-être même part à vos amis et collègues. Bonne lecture!

Voici mes choix de la semaine :

Les conseils de la semaine : chérie, j’ai réduit la piscine; astuces pour vendeurs pressés; d’une pierre deux coups, en aménagement; comment réduire les coûts; terrasse sur le toit et huit documents importants pour la vente.

La Presse remarque que ce n’est pas toujours facile de se conformer à la loi pour contrer l’hébergement illégal.

Conseiller conclut que l’immobilier pèse lourd dans l’économie du Québec.

Le coach immobilier Mike Ferry estime que « dans l’immobilier, c’est l’humain qui fait la différence, et non la technologie ».

BlastingNews discute d’une nouvelle tendance, partager sa demeure avec ses parents.

L’occasion de la semaine : une Américaine demande 8 millions USD pour sa ville, au Nevada.

Les Échos découvre pourquoi les prix de l’immobilier sont si élevés.

Les Français estiment que le Brexit menace l’histoire d’amour des Anglais avec leurs biens immobiliers.

Le Figaro constate que huit ans après l’éclatement de la bulle, l’immobilier espagnol redémarre prudemment.

Près de Dakar, au Sénégal, des maraîchers sont menacés d’expulsion à cause du manque de terrains pour construire.

 

Jonathan Baker, notre ancien rédacteur de discours, a contribué à la rédaction de discours, de publicités et de communiqués à l’intention de nos membres. Notre personnel savait que c’est à lui qu’il fallait s’adresser au 200, rue Catherine lorsqu’on avait besoin d’une pointe d’humour. Avant de se joindre à l’ACI, Jon a travaillé dans le domaine de la radio à Ottawa. Si vous rencontrez Jon, n’oubliez pas de lui demander de vous parler des nombreux musiciens célèbres qu’il a croisés au fil de ses 10 ans passés à faire du bénévolat pour un festival musical local.


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