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Quel est le meilleur moment pour vendre sa maison? Devrais-je mettre ma maison à vendre? Est-ce le meilleur moment? Devrais-je attendre au printemps ou à l’automne?
C’est LA question qu’on s’est souvent posée par le passé. On l’entend moins souvent dans le marché extraordinaire de la dernière année, mais pour plusieurs personnes, c’est toujours une question valide. Il y a quelques années, les saisons de l’immobilier étaient une réalité pour le marché. Le nombre de propriétés vendues et le prix auquel elles s’étaient vendues fluctuaient avec les saisons. Avant l’année de la célèbre « COVID-19 », les courtiers et agents immobiliers s’attendaient à une augmentation de nouvelles inscriptions et de ventes au printemps. Souvent, l’été était plus tranquille et était suivi par une autre hausse à l’automne.
Qu’est-ce que la COVID-19 a changé? On dirait que les saisons de l’immobilier n’existent plus!
Depuis 2018, il y a eu une hausse constante des ventes résidentielles. Chaque trimestre, on a observé une augmentation de quelques pourcentages (de 3 à 5 % selon la QPAREB). La meilleure période était encore le printemps et l’automne. On était quand même capable de prévoir les fluctuations du marché. Comme courtier ou agent, on planifiait nos vacances personnelles en conséquence. En 2019, on a commencé à voir un changement dans le marché. Où, dans le passé, il y avait traditionnellement une baisse de ventes et d’inscriptions, il n’y en avait plus!
Le quatrième trimestre de 2019 et le début de 2020 f ont commencé en force. Mais quand les pays se sont confinés en raison du virus, l’immobilier, comme tous les secteurs, a été mis sur pause. Pour la première fois depuis des années, il n’y a pas eu de hausse au printemps. Au Québec seulement, il y a eu une baisse de 24 %… suivie d’une hausse incroyable de 49 % et d’une autre hausse de 39 % entre juillet et décembre. Les ventes incroyables de l’année 2020 sont un phénomène que la plupart des experts et économistes n’ont jamais pu anticiper.
Sommes-nous témoins de la fin des saisons dans l’immobilier?
Est-on témoin de la fin des saisons dans l’immobilier? Probablement pas. Déjà, avec le début de l’année 2021, on voit des différences. Comme la COVID-19 a créé une demande incroyable, surtout dans les communautés rurales, la présente demande reste forte à cause d’un faible inventaire de propriétés à vendre; les gens continuent d’avoir des inquiétudes quant aux voyages et aux déplacements dans les grandes villes. Que se passera-t-il quand une grande partie de la population sera vaccinée et que le monde retournera à une stabilité « normale »? Bonne question!
La réalité est qu’on commence à voir déjà un léger refroidissement dans tous les marchés canadiens. Est-ce seulement à cause des nouvelles restrictions liées à la COVID-19 ou le lustre est-il finalement terni? Risque-t-on de connaître une autre année comme l’année dernière où le boom immobilier aura lieu seulement en été? Tout est possible. Mais, qu’on le veuille ou non, un semblant de vie normale va éventuellement nous permettre de retourner à nos vies quotidiennes et aussi à l’immobilier. Peut-être que les prix ne vont pas baisser énormément, ou pas du tout, mais peut-être que le marché déséquilibré de la dernière année se redressera. À suivre!