« Son aide a été inestimable » : Comment notre courtière nous a aidés à acheter notre première maison au Canada pendant la pandémie

On ne saurait sous-estimer le stress engendré par une pandémie mondiale. Néanmoins, une occasion unique s’est présentée à nous grâce à la COVID-19 : celle de devenir propriétaires d’une maison dans la capitale du pays.

Permettez-moi de vous expliquer.

En tant que nouveaux immigrants originaires de France, mon mari et moi savions lorsque nous avons posé nos valises à Ottawa que nous voulions nous y installer pour de bon et y construire notre famille. Nous ne savions pas combien de temps cela prendrait. Mais après seulement deux mois et demi au Canada, la pandémie a frappé. Ses effets sur les marchés immobiliers des deux côtés de l’Atlantique ont rendu notre rêve possible en moins d’un an.

Nous avions toujours été des citadins convaincus, vivant en plein centre-ville, que ce soit à Paris, en France, ou à Ottawa. Mais lorsque le confinement a été imposé, comme de nombreux Canadiens, nous avons soudain réalisé notre désir d’avoir une maison avec une cour. Notre appartement était en effet devenu notre bureau, notre gymnase et notre cinéma. Avec la fermeture des restaurants, des bars et des magasins de notre quartier, la vie en ville a commencé à perdre de son attrait.

Mais la pandémie n’a pas seulement affecté notre confort, elle a également eu des conséquences financières immédiates.

Nous avions mis notre appartement à Paris en location à court terme pour nous aider à financer notre immigration au Canada. Ce revenu s’est soudainement tari lorsque les frontières de la France se sont fermées en raison de la pandémie.

Nous devions maintenant nous soucier des frais d’entretien, des taxes et des autres coûts liés à notre propriété inoccupée. Nous avons dû prendre une décision rapide.

Nous avons mis notre appartement en France en vente et avons bénéficié de la hausse de la demande immobilière provoquée par la pandémie. La vente a dépassé nos attentes.

Cet emballement du marché immobilier parisien – associé à un taux de change euro/dollar canadien avantageux, nous a permis de nous rapprocher de notre objectif de devenir propriétaires dans notre nouveau pays. Celui où, entre temps, nous avions également appris que nous allions bientôt avoir un bébé! Le temps pressait.

Après avoir fait l’inventaire de nos économies personnelles et rapatrié l’argent de la vente de l’appartement parisien au Canada, nous avons estimé notre budget, y compris les taxes, les factures et les frais d’entretien d’une maison, à l’aide des calculatrices de prêts hypothécaires de REALTOR.ca.

Nous savions que le marché immobilier à Ottawa s’était également resserré, que la concurrence était forte et que les prix s’envolaient.

Alors, que valait vraiment notre budget à Ottawa, et à quels quartiers/propriétés pouvait-il convenir?

Notre première étape concrète a été de trouver un courtier. Rien ne vaut les conseils d’un professionnel.

Nous avons trouvé Rachel Gagnon, courtière à Ottawa, sur REALTOR.ca, en filtrant par langue car nous nous sommes sentis rassurés par un agent qui pouvait nous expliquer les choses dans notre langue maternelle, le français – d’autant plus que les processus d’achat en France et au Canada sont très différents.

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Mme Gagnon a été excellente. Elle a su expliquer et décrire chaque étape du processus, ce qui a été un soulagement pour nous. Elle a pris tout en main, des visites aux inspections à domicile.

Lorsque nous avons acheté notre maison, les visites en personne étaient permises, avec certaines restrictions. Nous avons porté des masques en tout temps, nous nous sommes désinfecté les mains et nous ne sommes entrés dans la maison qu’avec notre agent.

Notre nouvelle maison était la seule que nous ayons visitée en personne, mais nous en sommes tombés amoureux instantanément. Notre courtière connaissait la région et a pu nous renseigner sur les écoles francophones du quartier ainsi que sur les magasins, restaurants et sentiers populaires à proximité. Grâce à sa connaissance du marché local, elle a également pu anticiper une certaine concurrence entre les acheteurs et nous a aidés à organiser une inspection de la maison. Cela ne fait pas parti du processus d’achat en France, mais cela nous a permis de nous sentir en confiance dans notre offre. De plus, nous avons beaucoup appris sur la maison elle-même et sur l’entretien dont elle aurait besoin.

Mme Gagnon nous a guidés tout au long du processus de négociation. Elle nous a expliqué à quoi nous attendre lorsqu’une maison fait l’objet de plusieurs offres et nous avons discuté ensemble du budget maximum avec lequel nous nous sentions à l’aise. Elle nous a aidé à préparer plusieurs offres à l’avance afin de pouvoir réagir rapidement et faire des contre-offres, si nécessaire.

Nous avons soumis notre offre de manière virtuelle et nous avons pu remplir nos documents en ligne grâce à DocuSign.

Les fournisseurs de signatures électroniques simplifient la signature de documents pour les membres et pour les clients. Il est facile d’établir le lien entre WEBForms – ACI et votre fournisseur de signatures électroniques, ce qui vous permettra d’économiser du temps au moment de conclure la transaction.

Son soutien ne s’est pas arrêté lorsque nous avons signé les documents (virtuels). Elle a également su nous conseiller un bon avocat francophone et nous a suivis jusqu’à ce que nous ayons les clés en main. Son aide a été inestimable et nous a permis de gérer le stress lié à l’achat d’une maison pendant une pandémie mondiale.

Mme Gagnon a travaillé pour nous sans relâche. L’ensemble du processus n’a pris que quatre jours : une visite le samedi, une inspection de la maison le dimanche, une offre le lundi… acceptée le mardi!

Aujourd’hui, nous sommes heureux propriétaires d’une maison dans laquelle nous avons toute confiance que notre enfant pourra grandir dans les meilleures conditions.

Jessica est ancienne journaliste pour les médias en ligne et spécialiste du marketing numérique. Elle a travaillé à Paris, en France, et à Auckland, en Nouvelle-Zélande avant de se joindre à L’Association canadienne de l’immeuble en tant que coordinatrice des médias sociaux. Jessica contribue à faciliter la communication et les conversations entre l’ACI et ses membres grâce aux réseaux sociaux. Dans sa vie personnelle, Jessica aime voyager à l’étranger, découvrir de nouveaux restaurants, assister à des festivals de musique et faire de l’exercice au centre sportif de son quartier.


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