Pour Sam Rees, le rêve de posséder une maison est né le jour où il a épousé Jennifer.
Aujourd’hui, près de trois ans plus tard, les deux milléniaux se préparent à emménager dans leur toute première maison à Ottawa.
« On était fatigué de louer et de payer l’hypothèque de quelqu’un d’autre », explique Sam, ajoutant qu’à l’époque ils avaient voulu acheter tout de suite, mais que leurs finances ne le leur permettaient pas.
Sam était un graphiste débutant et sa femme était encore aux études, donc ils vivaient avec un budget très serré.
Aujourd’hui, Sam travaille comme graphiste à l’ACI et Jennifer a trouvé un emploi d’esthéticienne après l’obtention de son diplôme. Même si leurs carrières respectives se sont améliorées, ils ont continué de maintenir le même style de vie.
« On n’a pas acheté de voiture, on n’a pas déménagé dans un appartement plus grand. On a gardé le même style de vie pour pouvoir faire des économies », précise Sam.
Il ajoute aussi que les sacrifices – faire l’épicerie à pied, aller au travail en autobus et faire du graphisme à la pige – en valaient bien la peine.
Après avoir parcouru REALTOR.ca et essayé de comprendre ce qu’ils pouvaient se permettre, Sam a utilisé la feuille de route en vue de l’achat d’une maison, qui a guidé le jeune couple à travers les étapes du processus d’achat.
« Ensuite, nous avons consulté un courtier en hypothèques pour confirmer que c’était financièrement faisable », déclare Sam.
Depuis le 1er janvier de cette année, les Canadiens qui demandent, renouvellent ou refinancent une hypothèque doivent se plier à une simulation de crise, pour prouver que leurs finances resteraient stables advenant une hausse substantielle des taux d’intérêt au-delà de leur taux hypothécaire courant.
Bien que cette mesure affecte tous les acheteurs, les milléniaux et les premiers acheteurs ont été les plus sévèrement touchés.
Un récent article du National Post rapportait d’ailleurs que le budget moyen des milléniaux en vue de l’achat d’une maison a chuté à 203 246 $ à un taux d’intérêt de 5,14 %, soit une baisse de 40 103 $.
Pour Sam, le processus était carrément déconcertant, mais en même temps indispensable s’ils voulaient accéder à la propriété.
Dès qu’ils ont obtenu une hypothèque préapprouvée, Sam s’est tourné vers ses collègues pour en savoir plus sur la valeur d’un détenteur du titre REALTOR®.
« C’était tout nouveau pour nous. C’était la première qu’on achetait une maison et on n’y connaissait rien », explique Sam, qui avait plus de questions que de réponses.
Mais en fait, Sam était déjà au courant du Régime d’accession à la propriété (RAP) vu qu’il travaille à l’ACI. Comme acheteurs d’une première maison, Sam et sa femme ont pu retirer jusqu’à 25 000 $ de leurs régimes enregistrés d’épargne retraite (REER) en vue d’une mise de fonds. Tant qu’ils remboursent le montant complet dans les 15 ans, cette somme est exempte d’impôt et d’intérêt.
Au moment de présenter leur offre, Sam était très reconnaissant envers son agente immobilière. Elle les a guidés à toutes les étapes du processus, mais surtout elle leur a fait faire des économies sur le prix d’achat.
« Mon agente immobilière a regardé les plans de zonage du quartier et elle s’est rendu compte que notre maison était un peu plus petite que celle des voisins. Elle a pu alors utiliser ce détail pour faire baisser le prix. »
Du premier contrat à l’offre conditionnelle, Sam s’est senti dépassé par la quantité de paperasse. Heureusement que lui et sa femme avaient une spécialiste à leurs côtés.
« Notre agente immobilière et son équipe nous ont vraiment rassurés. Ils ont passé en revue avec nous chaque page de chaque document et ont répondu à toutes nos questions », affirme-t-il.
À la question de savoir s’il recommanderait les services d’un détenteur du titre REALTOR®, Sam est sans équivoque : « Comme acheteur d’une première maison, on serait mal avisé de ne pas recourir à un détenteur du titre REALTOR®. »